L'œuvre de Mathilde Wolff est habitée par la nature. En 2016, elle découvre la forêt Atlantique brésilienne, réservoir de biodiversité, tragiquement massacrée. Elle crée la série « Na Mata » où les formes végétales deviennent des sujets flottants . Aujourd'hui, cette série initiée au Brésil s'étend à d'autres forêts du monde. Forêts qui résonnent à travers la fragilité des calques, la finesse du trait, l'effacement mais aussi le foisonnement, la multiplication des textures.